Voici la petite traduction de la chanson que JT dit ne pas comprendre.
« On était un cercle autour d’enfants rosis,
Ils etaient des cercles autours du soleil,
Ne jamais laisser tomber, ne jamais ralentir.
Synchronisés avec la lune levante,
Meme avec l’etoile du soir,
Ils etaient un amour sincère écrit sur de la pierre,
Ils n’etaient jamais seuls, jamais très loin l’un de l’autre.
Et nous qui n’osions pas croire qu’ils le feraient,
On avait à fermer nos yeux,
Couper nos pertes en doubles doses,
Rationner nos larmes et soupirs.
Vous pouviez les voir dans la rue un Samedi soir,
Tous les chahutaient,
Ils sont un peu trop doux, un peu trop souls,
Pas assez costauds pour cette ville.
On ne pouvait pas les toucher même avec une perche de dix pieds,
Non, ils ne semblaient pas du tout s’ébranler,
Ils étaient collés corps et âme,
Mais avec le dos au mur.
Oh, soutenez-les, soutenez-les,
Ne les laissez jamais tomber
Proies à la poussière, la rouille et la ruine,
Ca nous cite, nous clame et nous blâme.
Je pense que ça devait arriver bien assez tôt,
Rien ne devait les retenir,
Ils se seraient envolés de parmi nous comme un grand ballon,
Prendre le ciel, abandonner la terre.
Oh oui d’autres cœurs ont été brisés,
Ouais, d’autres rêves asséchés,
Mais nos rêves dorés naviguent, naviguent
Vers une autre terre sous un autre ciel. »
Lilly.
« On était un cercle autour d’enfants rosis,
Ils etaient des cercles autours du soleil,
Ne jamais laisser tomber, ne jamais ralentir.
Synchronisés avec la lune levante,
Meme avec l’etoile du soir,
Ils etaient un amour sincère écrit sur de la pierre,
Ils n’etaient jamais seuls, jamais très loin l’un de l’autre.
Et nous qui n’osions pas croire qu’ils le feraient,
On avait à fermer nos yeux,
Couper nos pertes en doubles doses,
Rationner nos larmes et soupirs.
Vous pouviez les voir dans la rue un Samedi soir,
Tous les chahutaient,
Ils sont un peu trop doux, un peu trop souls,
Pas assez costauds pour cette ville.
On ne pouvait pas les toucher même avec une perche de dix pieds,
Non, ils ne semblaient pas du tout s’ébranler,
Ils étaient collés corps et âme,
Mais avec le dos au mur.
Oh, soutenez-les, soutenez-les,
Ne les laissez jamais tomber
Proies à la poussière, la rouille et la ruine,
Ca nous cite, nous clame et nous blâme.
Je pense que ça devait arriver bien assez tôt,
Rien ne devait les retenir,
Ils se seraient envolés de parmi nous comme un grand ballon,
Prendre le ciel, abandonner la terre.
Oh oui d’autres cœurs ont été brisés,
Ouais, d’autres rêves asséchés,
Mais nos rêves dorés naviguent, naviguent
Vers une autre terre sous un autre ciel. »
Lilly.