Totale surprise:un album tout nouveau de Rickie Lee Jones intitulé THE SERMON ON EXPOSITION BOULEVARD vient de sortir est en vente chez Gibert, en deux versions: album simple et album double CD et DVD
Ecoutez des extraits de l'album sur la page myspace de Rickie: http://www.myspace.com/dutchessofcoolsville
critique du magazione MOJO (Quatre étoiles!!!)
Rickie Lee Jones
Mojo Review March 2007
Que serait le résultat si Lou Reed et Moe Tucker joignaient leur force avec la Danielson Family? Ms. Jones, une jeteuse de charme de l'ére des seventies en connaît le potentiel: Sermon on Exposition Boulevard - qui passe du minimalisme punk rock à un rock éthéré et murmuré - marie la pop musique à la chétienté d'une manière dont n'auraient même pas pu rêver les acteurs de "Jesus Christ Superstar". enregistré dans un loft de peintre à LA et au Sunset Sound Studios, avec des apôtres comme ll'auteur/musicien Lee Cantelon, Joey Waronker et Rob Schnapf pour l'aider à trouver sa route, Jones évite toujours le prêche et le prosélytisme, mais témoigne plutôt à travers le regard de Jesus, de sa foi toujours en évolution. A la fois primordiales (Gethsemane, Donkey Ride), hallucinatoires (Elvis Cadillac, I Was There), et gentiment auto analysantes (It Hurts), ses compopstions sont aussi joyeuses qu'un jappement de chien et aussi triste, oui, qu'une crucifixion.
"On the corner/ We see him coming," chante-t-elle sur Falling Up, comme si elle envoyait une fusée de signalement aux non croyants.
------
Voici ma traduction du superbe critique de l'album tiré du magazine UNCUT (UK) ( quatre étoiles pour l'album!!)
En dépit d'avoir frapper fort avec le tube “Chuck E’s in Love” en 1979, Jones a toujours l'artiste culte par excellence: révérée par un petit nombre de fanatique,acclamé par ses pairs, observée avec une llégère curiosité par le sreste. Depuis qu'elle a echouée à Los Angeles en tant que jeune fugueuse dans le milieu des années 70, sa carrière a blancé dans d'étrange directions.Contrepoint féminine à son maant de l'époque Tom Waits, ses premières chansons représentaient des incursions au piano dans les dessous de la vie bohème, avant qu'elle ne commence à embrasser les standards de jazz et la musique douce amère de fin de soirées des origines.
Bien que peu prolifique, la dernière décade l'a trouvée en forme expérimentale, avec des albums de jazz dépouillés et , en 1997 "Ghostyhead", des récitations parlés sur des bruits ambiants. etd onc, lorsque au début de l'années dernière elle a décrit un album à venir comme “une inteprétation appauvrie de l'idéologie chrétienne”,même les fanatique auraient pu ressentir, à juste raison, un frisson les parcourir. Mais quel album!!
Rickie Lee à nue, scattant, poussant des cris rauques et murmurant à travers 13 chansons d'un rock nerveux avec des arrangements à l'austérité déconcertante. Nourris de gospels, l'album est autant une exploration de sa propre foi qu'un commentaire de la place du Christ dans un monde extrêment troublé. Jesus, d'après elle, a trop mauvaise presse.
Avec la guitare cinbglante de Peter Atanasoff derrière elle tel un Lenny Kaye de la belle époque, Jones urgente qu'une Patti Smith. Lorqu'elle lance une menace à voix basse, elle pourrait passer pour Jim White. “Nobody Knows My Name” est un discours totalement improvisé qui, avec le morceau “It Hurts”, suggère que sa foi est souvent en conflit. Avec sa fin rugueuse à la guitare, “Where I like It Best” fait allusion au "Notre Père", tandis que “Elvis Cadillac” imagine Presley parcourant le scieux en roue libre pendant que Janis Joplin travaille dans un bar au coin de la rue. les rafales instrumentales qui accompagnent le morceau: des trompettes célestes et des étranges coups de canons à la batterie.
Mais pour toutesces dissonances bizarres,l a crudité musicale de "The Sermon..." lui fournit son incroyable immédiateté. Etrangement accessible et hautement audible, c'est son meilleur album en trois décénnies. -
Colonne "Americana" tenue par Rob Hughes
----
THE SERMON ON EXPOSITION BOULEVARD, le nouvel album de Rickie Lee Jones et son premier pour New West Records, est une beauté-- qui satisfait l'âme et qui sonne d'une manière unique. RICKIE LEE sonne vraimment comme si elle était habité, vivante et vitale, dévalant quelques routes incroyablement intéressantes et découvrant de nouvelles essences magiques. Enormément d'étincelles créatives dans cet album-- des tonnes en fait !!! Elle sonne comme si elle subissait une transformation à travers l'album d'une manière qui rappelle les performances de Van Morrison sur son album classique "Astral Weeks". Il y a son ébouriffante performance de plus de 8 minutes d'improvisation sur “I Was There,” et tant d'autres pépites comme “Where I Like It Best,” “Gethsemane,” “Falling Up,” “Circle In The Sand,” “7th Day” and “Elvis Cadillac” et surtout “Nobody Knows My Name.”
" ...it rocks, it rolls, it swings and strolls...Sermon on Exposition Boulevard feels raw and immediate, and most of all, it rings true. The music here was made because Jones had to make it...The songs onthis record feel like they come from the street in order to go back there, not to witness or testify, but simply to be there as a witness to life in the process of spending itself....a masterpiece."
Ecoutez des extraits de l'album sur la page myspace de Rickie: http://www.myspace.com/dutchessofcoolsville
critique du magazione MOJO (Quatre étoiles!!!)
Rickie Lee Jones
Mojo Review March 2007
THE SERMON on EXPOSITION BOULEVARD
Avec l'aide de Jésus, Rickie Lee Jones marche sur l'eau...
Avec l'aide de Jésus, Rickie Lee Jones marche sur l'eau...
Que serait le résultat si Lou Reed et Moe Tucker joignaient leur force avec la Danielson Family? Ms. Jones, une jeteuse de charme de l'ére des seventies en connaît le potentiel: Sermon on Exposition Boulevard - qui passe du minimalisme punk rock à un rock éthéré et murmuré - marie la pop musique à la chétienté d'une manière dont n'auraient même pas pu rêver les acteurs de "Jesus Christ Superstar". enregistré dans un loft de peintre à LA et au Sunset Sound Studios, avec des apôtres comme ll'auteur/musicien Lee Cantelon, Joey Waronker et Rob Schnapf pour l'aider à trouver sa route, Jones évite toujours le prêche et le prosélytisme, mais témoigne plutôt à travers le regard de Jesus, de sa foi toujours en évolution. A la fois primordiales (Gethsemane, Donkey Ride), hallucinatoires (Elvis Cadillac, I Was There), et gentiment auto analysantes (It Hurts), ses compopstions sont aussi joyeuses qu'un jappement de chien et aussi triste, oui, qu'une crucifixion.
"On the corner/ We see him coming," chante-t-elle sur Falling Up, comme si elle envoyait une fusée de signalement aux non croyants.
------
Voici ma traduction du superbe critique de l'album tiré du magazine UNCUT (UK) ( quatre étoiles pour l'album!!)
Rickie Lee Jones: Sermon on Exposition Boulevard (New West) Eblouissante retour de la Duchess of Coolsville, LA
En dépit d'avoir frapper fort avec le tube “Chuck E’s in Love” en 1979, Jones a toujours l'artiste culte par excellence: révérée par un petit nombre de fanatique,acclamé par ses pairs, observée avec une llégère curiosité par le sreste. Depuis qu'elle a echouée à Los Angeles en tant que jeune fugueuse dans le milieu des années 70, sa carrière a blancé dans d'étrange directions.Contrepoint féminine à son maant de l'époque Tom Waits, ses premières chansons représentaient des incursions au piano dans les dessous de la vie bohème, avant qu'elle ne commence à embrasser les standards de jazz et la musique douce amère de fin de soirées des origines.
Bien que peu prolifique, la dernière décade l'a trouvée en forme expérimentale, avec des albums de jazz dépouillés et , en 1997 "Ghostyhead", des récitations parlés sur des bruits ambiants. etd onc, lorsque au début de l'années dernière elle a décrit un album à venir comme “une inteprétation appauvrie de l'idéologie chrétienne”,même les fanatique auraient pu ressentir, à juste raison, un frisson les parcourir. Mais quel album!!
Rickie Lee à nue, scattant, poussant des cris rauques et murmurant à travers 13 chansons d'un rock nerveux avec des arrangements à l'austérité déconcertante. Nourris de gospels, l'album est autant une exploration de sa propre foi qu'un commentaire de la place du Christ dans un monde extrêment troublé. Jesus, d'après elle, a trop mauvaise presse.
Avec la guitare cinbglante de Peter Atanasoff derrière elle tel un Lenny Kaye de la belle époque, Jones urgente qu'une Patti Smith. Lorqu'elle lance une menace à voix basse, elle pourrait passer pour Jim White. “Nobody Knows My Name” est un discours totalement improvisé qui, avec le morceau “It Hurts”, suggère que sa foi est souvent en conflit. Avec sa fin rugueuse à la guitare, “Where I like It Best” fait allusion au "Notre Père", tandis que “Elvis Cadillac” imagine Presley parcourant le scieux en roue libre pendant que Janis Joplin travaille dans un bar au coin de la rue. les rafales instrumentales qui accompagnent le morceau: des trompettes célestes et des étranges coups de canons à la batterie.
Mais pour toutesces dissonances bizarres,l a crudité musicale de "The Sermon..." lui fournit son incroyable immédiateté. Etrangement accessible et hautement audible, c'est son meilleur album en trois décénnies. -
Colonne "Americana" tenue par Rob Hughes
----
THE SERMON ON EXPOSITION BOULEVARD, le nouvel album de Rickie Lee Jones et son premier pour New West Records, est une beauté-- qui satisfait l'âme et qui sonne d'une manière unique. RICKIE LEE sonne vraimment comme si elle était habité, vivante et vitale, dévalant quelques routes incroyablement intéressantes et découvrant de nouvelles essences magiques. Enormément d'étincelles créatives dans cet album-- des tonnes en fait !!! Elle sonne comme si elle subissait une transformation à travers l'album d'une manière qui rappelle les performances de Van Morrison sur son album classique "Astral Weeks". Il y a son ébouriffante performance de plus de 8 minutes d'improvisation sur “I Was There,” et tant d'autres pépites comme “Where I Like It Best,” “Gethsemane,” “Falling Up,” “Circle In The Sand,” “7th Day” and “Elvis Cadillac” et surtout “Nobody Knows My Name.”
Dernière édition par le Ven 09 Fév 2007, 7:50 pm, édité 6 fois