Les Amis francophones de James Taylor


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JT - TOURNEE FRANCAISE EN MARS 2015

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1JT - TOURNEE FRANCAISE EN MARS 2015 Empty JT - TOURNEE FRANCAISE EN MARS 2015 Mar 22 Avr 2014, 10:29 am

Admin Samuel Légitimus

Admin Samuel Légitimus
Admin

JT - TOURNEE FRANCAISE EN MARS 2015 Jt_hea10

JT vient (enfin!) d’annoncer son retour en France!

En effet en Mars 2015, il effectuera la première tournée de sa carrière (de  plus de 46 ans!) sur le territoire français avec six concerts, dont une date à l'Olympia le 12 mars - jour de son 67e anniversaire.

JT - TOURNEE FRANCAISE EN MARS 2015 Jamest10


Les villes concernées:

Lyon le 10 mars,
Paris le 12 mars,
Marseille le 20 mars,
Bordeaux le 21 mars,
Nantes le 24 mars,
Lille le 26 mars

La prévente des billets devrait se faire incessamment.

Comme à chacun de ses passages à l'Olympia, le Collectif des Amis de James Taylor à la possibilité de bloquer un certain nombre de d'excellents places carré OR et Cat1. Les amis de JT qui seraient intéressés devront m'envoyer au plus vite un message et je leur communiquerai les modalités de paiement.

Le tarif des billets Olympia:

CARRE OR 117.00 €
CAT1 95.00 €
CAT2 78.50 €
CAT3 67.50 €

2JT - TOURNEE FRANCAISE EN MARS 2015 Empty Re: JT - TOURNEE FRANCAISE EN MARS 2015 Jeu 19 Fév 2015, 12:20 pm

Admin Samuel Légitimus

Admin Samuel Légitimus
Admin

JT - TOURNEE FRANCAISE EN MARS 2015 Medium10

JAMES TAYLOR, CHAPEAU L'ARTISTE

Direct Soir Bordeaux


Plus qu’un mois avant la venue exceptionnelle en province d’un géant du folk-rock américain, j’ai nommé sa majesté James Taylor, le 21 mars au Fémina. DirectMatin Bordeaux7 a décroché l’une des rares interviews de l’auteur de « Carolina On My Mind », « Fire & Rain », « How Sweet It Is (To Be Loved By You) »...



Très honoré de pouvoir dialoguer un peu avec vous. Qu’est-ce qui vous a décidé ?

Eh bien, cette tournée en province est en quelque sorte une expérience. Je tourne souvent en Europe, en France en particulier, mais essentiellement à Paris, où j’ai un public qui me connaît bien. Mais je n’ai quasi jamais, à part un ou deux festivals, joué ailleurs qu’à Paris. Alors j’ai demandé à mon ami le producteur Gérard Drouot de m’organiser cette tournée. Il m’a dit « on prend des risques, on n’est pas sûrs que tu aies un public là-bas ». Mais il m’a suivi quand même et j’en suis heureux car c’est quelque chose que j’espérais depuis un long moment.

Vous arrivez avec en poche les nouvelles chansons d’un album à paraître très prochainement, le premier en dix ans ! Pourtant vous n’avez pas chômé entre temps…


C’est vrai, j’ai quand même sorti 5 albums ! Une formule « one man band » seul avec mes instruments, un album de chants de Noël, deux albums de reprises, et un autre de mes retrouvailles avec Carole King. De quoi m’occuper largement un an ou deux à chaque fois, et puis c’était vraiment stimulant. Pourtant, pour être franc, dès que j’ai songé à écrire à nouveau des titres originaux, j’avoue que je me suis demandé si j’y arriverais encore ! Il se trouve que ça s’est bien passé : en très peu de temps, j’avais déjà 3 ou 4 chansons plutôt bien, j’étais rassuré…

Vous avez dit une fois que « les chansons semblent [vous] trouver ». C’est toujours le cas, donc…

Ça a l’air facile, dit comme ça. En réalité, ce n’est pas si simple. Au début, je consigne des petits bouts, une phrase, une mélodie, un couplet/refrain. Ça, ça vient assez vite, assez souvent. Mais avec ma vie bien remplie, c’est difficile d’aller plus loin. Pour ça, il me faut de la solitude, un moment sans distraction. Alors j’ai emprunté l’appartement d’un ami, une semaine par-ci, une semaine par-là. Et, à chaque fois, au bout de deux-trois jours, les idées s’assemblent, les chansons prennent corps : je suis alors dans l’état d’esprit approprié pour les « recevoir »…

En dix ans, vous êtes-vous découvert de nouvelles sources d’inspiration, de nouveaux sujets de préoccupation ?

Question intéressante. C’est vrai que le folk a ses thèmes récurrents, des sortes de « figures imposées » auxquelles même dans mes nouveaux titres je n’échappe pas : l’appel de la route, l’errance, le voyage, le retour à la maison.

Mais pour la première fois, c’est vrai, j’ai réussi à y glisser des intérêts plus… prosaïques. D’où le nom de l’album, qui va s’appeler « Before This World » jouant sur le double sens de “before” en anglais : on peut comprendre « avant ce monde », un œil vers le passé, ou « devant ce monde », un regard sur notre présent. J’aborde par exemple du léger, avec le baseball, ou du sérieux avec le retour de nos soldats d’Afghanistan. Ah oui, j’oubliais l’amour, bien sûr, dans les thèmes réguliers ! J’ai dédié une chanson à mon épouse Caroline, dont la rencontre est la 3e chose qui a le plus transformé ma vie.

Quelles ont été les deux premières ?

La première, c’était en 1968, lorsque les Beatles ont fait de moi le premier artiste non-britannique à être signé sur leur nouveau label, Apple Records : ils ont ouvert une porte qui a changé ma vie. La deuxième, c’est quand j’ai enfin retrouvé la sobriété après une vingtaine d’années d’addiction à l’héroïne. À regarder par-dessus mon épaule, je me rends compte que j’ai été très très chanceux. Mon évolution musicale s’est faite en douceur, en remettant sans cesse le métier sur son ouvrage. Doucement, avec le temps, [il passe en français] « je m’améliore par petits pas ».

Vous avez retrouvé votre groupe pour l’enregistrement. Ils tourneront avec vous ? Qu’allez-vous nous jouer ?

Oui ! Et c’est vraiment une des grandes joies de mon existence d’être entouré par ces gens, mes fidèles, mes amis, les meilleurs dans ce qu’ils font, depuis une vingtaine d’années maintenant. Laissez-moi en citer quelques-uns, parce que j’ai remarqué qu’en France, bien plus qu’aux États-Unis, le public est attentif à tous les musiciens qu’il pourra voir sur scène, et je trouve ça bien pour eux. Il y aura donc Jimmy Johnson à la basse, Steve Gadd à la batterie, Larry Goldings, un géant du piano jazz, Michael Landau, sans doute l’un des plus grands guitaristes électriques du monde… Et j’emmènerai aussi mes trois choristes avec nous !

Pour cette tournée, comme je vais au-devant de spectateurs que je n’ai pas encore rencontrés, je pense que nous allons essayer de jouer pas mal de chansons qu’ils connaissent mais qu’ils n’ont jamais entendu en live, quelques nouvelles, et quelques raretés aussi. Un équilibre entre les anciens et les nouveaux territoires… •

Recueilli par Sébastien Le Jeune

Samedi 21 mars, au Théâtre Fémina, 20h, 56,50-95€.
Tél. 05 56 48 26 26 ou www.box.fr

3JT - TOURNEE FRANCAISE EN MARS 2015 Empty Re: JT - TOURNEE FRANCAISE EN MARS 2015 Mar 03 Mar 2015, 10:45 am

Admin Samuel Légitimus

Admin Samuel Légitimus
Admin

JAMES TAYLOR: UNE LÉGENDE AMÉRICAINE

Le progrès de Lyon

Né en 1948 à Boston, James Taylor fait partie des légendes du folk américain, avec Bob Dylan, Joni Mitchell ou Simon and Garfunkel. Il fut l’un des rares artistes signé par Apple, le label des Beatles, et a inspiré « Something » à George Harrison. Mais sa longue addiction à l’héroïne l’a certainement empêché d’atteindre son vrai niveau de réussite internationale.

Durant sa carrière, James Taylor a cependant vendu plus de 40 millions d’albums, avec à son palmarès, plus de 40 disques d’or et de platine, et plus cinq Grammy Awards. Le premier album « Greatest Hits » de Taylor a dépassé les 10 millions de disques vendus.

On lui doit des titres légendaires, comme « Fire and rain », « Something in the way she moves » ou « Carolina in my mind ».

Comme beaucoup d’intellectuels de la Nouvelle Angleterre, il est francophile et francophone…

Vous êtes francophile et francophone, mais vous avez très peu joué en France…

   C’est vrai. C’est ma première véritable tournée en France. Je suis venu quelques fois à Paris, ou sur la Côte d’Azur, mais c’était des concerts uniques. Je suis très heureux de rencontrer un nouveau public.

   Est-ce que ça change le spectacle, de jouer pour la première fois dans une ville ?

   Je suppose que pour une première fois, les gens ont envie d’entendre les favorites, les chansons qu’ils connaissent, et qu’ils écoutent depuis longtemps. On va sortir un disque cet été, on jouera donc deux ou trois nouvelles chansons, mais pas plus. C’est délicat de construire une soirée équilibrée, c’est un art subtil…

   Jouer les vieilles chansons, ça ne vous fatigue pas ?

   Non, parce que je le fais pour le public. Quand vous commencez une chanson assez connue et que vous sentez une vague de plaisir venir du public, c’est très agréable.

  Vous jouez aussi beaucoup de chansons des autres…

   J’adore ça ! Jouer les chansons de Buddy Holly, des Drifters, ou de Carole King, ça me permet d’essayer de nouvelles façons de chanter et de transmettre des émotions. Je les adapte à ma façon, et au final, c’est comme si c’était mes propres chansons, Parfois, j’ajoute même quelques paroles…

Vous jouez avec les mêmes musiciens depuis des années, vous êtes un directeur musical heureux ?

   Très heureux. J’ai la chance d’avoir quelques-uns des meilleurs musiciens avec moi, et avec les années, on est un peu comme une famille. On a plus forcément besoin de se parler pour se comprendre. Chacun est responsable de sa partie, et mon rôle est d’écouter ce qu’ils proposent. Jimmy Johnson, par exemple (le bassiste, Ndlr), me propose toujours quelque chose de bien mieux que ce que j’avais imaginé. Pareil avec Larry Golding, c’est un maestro au piano…

   Est-ce que le rôle des musiciens a changé avec les années ?

   Peut-être que l’on attend un peu moins de commentaires sociaux des artistes qu’à l’époque à laquelle j’ai commencé, dans les années soixante. Ou alors, ça s’est déplacé, et les rappers ont repris ce rôle…

  Qu’est-ce que représente la France pour vous ?

   Je me suis toujours senti une connexion avec ce pays. J’ai appris le français à l’école et j’ai découvert l’histoire et les artistes de ce pays avec admiration. J’étais à Paris au moment de l’attentat à Charlie, et ça m’a semblé tellement incompréhensible, que ça arrive ici, en France…

Samedi 7 mars, au théâtre du Léman à Genève. Mardi 10 mars, à la Bourse du Travail de Lyon.

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