Je me croirais au Canada! Dès qu'une personne ne parle pas français, tous les francophones se parlent en anglais...
Pour en revenir au premier long-jeu que j'ai acheté, c'était, je crois, Beatles '65. I'm a looser, I'm a Loooooser, I am not what I appear to be, etc. Ce qui signifie que je suis (légèrement) plus jeune que le prez avec son Meet The Beatles... Comme je suis le troisième d'une famille de dix, j'avais une soeur aînée qui achetait des disques que j'écoutais: le mémorable et immuable Getz-Gilberto (comme James!), Los Incas, les premiers vrais (pas les Calchakis) musiciens de musique traditionnelle sud-américaine dont leur El Condor Pasa a servi, plus tard, de trame musicale à l'anasthésiant I'd Rather be a hammer than a Nail de Simon & Garfunkel. Elle m'a aussi fait découvrir le Belge Brel et le Sétois Brassens.
Pour la musique française populaire, mon père, lors d'un voyage en France en mai 68, nous avait rapporté des disques (4 chansons) de France Galle, les Millionnaires, Richard Anthony (Écoute la réponse dans le vent), Johnny Holliday, frère de Billy, je crois... Claude François que j'ai, dès la première écoute, détesté. Puis aussi Hervé Villard (Capri, c'est fini), Michelle Torr, etc. A l'époque, on lisait "Salut les Copains" avec 3 mois de retard: je crois qu'il était expédié par bateau via la Suisse...
Comme en France, pour la génération yéyé de Tom et Sergio, les premières chansons que j'ai apprises à la guitare étaient "La Poupée Qui Fait Non" de Polnarefffff et "The House Of The Rising Sun" de Eric Burdon and The Animals.
JP Cantin
Québécois et, accessoirement, Canadien...
Pour en revenir au premier long-jeu que j'ai acheté, c'était, je crois, Beatles '65. I'm a looser, I'm a Loooooser, I am not what I appear to be, etc. Ce qui signifie que je suis (légèrement) plus jeune que le prez avec son Meet The Beatles... Comme je suis le troisième d'une famille de dix, j'avais une soeur aînée qui achetait des disques que j'écoutais: le mémorable et immuable Getz-Gilberto (comme James!), Los Incas, les premiers vrais (pas les Calchakis) musiciens de musique traditionnelle sud-américaine dont leur El Condor Pasa a servi, plus tard, de trame musicale à l'anasthésiant I'd Rather be a hammer than a Nail de Simon & Garfunkel. Elle m'a aussi fait découvrir le Belge Brel et le Sétois Brassens.
Pour la musique française populaire, mon père, lors d'un voyage en France en mai 68, nous avait rapporté des disques (4 chansons) de France Galle, les Millionnaires, Richard Anthony (Écoute la réponse dans le vent), Johnny Holliday, frère de Billy, je crois... Claude François que j'ai, dès la première écoute, détesté. Puis aussi Hervé Villard (Capri, c'est fini), Michelle Torr, etc. A l'époque, on lisait "Salut les Copains" avec 3 mois de retard: je crois qu'il était expédié par bateau via la Suisse...
Comme en France, pour la génération yéyé de Tom et Sergio, les premières chansons que j'ai apprises à la guitare étaient "La Poupée Qui Fait Non" de Polnarefffff et "The House Of The Rising Sun" de Eric Burdon and The Animals.
JP Cantin
Québécois et, accessoirement, Canadien...